Wally Gator : rugby de village, communion solennelle et charcuterie.
Elève Moinet : permis B, Première étoile,
BEPC (mention Assez bien)
Oddjob : KPM, RKO et Kop Boulogne.
Barbidule : contradictions, bals de village et coloriage.
Getcarter : mod, mod, mod.
Hong Kong Fou-Fou : soins capillaires, huile de moteur et kilomètre arrêté. 
Sur Fury Magazine, on parle de tout. Mais pourtant il y a un sujet que l’on n’a pas encore abordé : le jeu ! Pas Donjons et Dragons ! Je parle du jeu d’argent, celui qui avilie l’homme ordinaire, celui qui sublime l’agent secret !
Aïe !!! Mais, quoi encore Patron ??!?? Ah oui, c’est vrai !!! Vous avez parlé, brillamment d’ailleurs, du poker en ligne… Toutes mes excuses, Patron… (Poker, octets et charentaises)
Bon, je continue. J’ai une anecdote à vous raconter. Tout se passe dans un casino du sud de la France. Mme X arrive avec son "porte-bonheur", Mr Y, comme elle le fait depuis des années. Elle prend des jetons de machine à sous et fait jouer Mr Y. Il appuie sur le bouton et 7… 7… et 7 !!!! Jackpot !!! Plus de 2 millions d’euros dans la popoche ! A partir de ce jour, Mr Y n’a plus de nouvelles de Mme X alors que leur collaboration dure depuis quelques temps déjà ! Il décide de saisir la justice : "C’est moi qui ait joué : les sous sont à moi !" Alors qui gagne ? Celui qui mise ou celui qui joue ? La justice a tranché : 80% pour Madame et 20% pour Monsieur… Mme X a fait appel, bien évidemment…
Ma question est donc : lorsque le gouvernement britannique octroie des liquidités à Mr B. et que celui-ci fait sauter la banque au black-jack, reverse-t-il 80% de ses gains à la Couronne ? Il faut le prévenir !!! Il va se faire rattraper par la justice ! Bon, il est Anglais, me direz-vous et les Anglais ne font rien comme tout le monde ou plutôt tout comme personne, à vous de voir. Moi, je dis, qu’à tous les coups, Mr M. l’autorise à tout garder ! Il n’y a pas de justice…
J’aurais pu vous parler de ce Japonais de 75 ans, star du cinéma pour adultes dans son pays, mais je laisse ça au spécialiste… Non, ce n’est pas une erreur, spécialiste est au singulier. Chez Fury Magazine, nous n’avons qu’un et un seul spécialiste de ce sujet.
Ah, nous voilà enfin débarrassés de la grippe A. Non pas parce qu'elle régresse particulièrement, mais parce qu'elle est occultée par le coma de Johnny Halliday. Halliday alité, c'est autrement plus important que la pandémie publique N°1. C'est plus dur à prononcer, aussi. Essayez de le dire une vingtaine de fois très vite, vous verrez. Un peu comme "Panier, piano". Je n'ai rien de particulier contre Johnny Halliday, hein. Et mon éducation chrétienne veut que je ne me moque jamais de quelqu'un qui souffre, même s'il chante mal et s'il nous gonfle depuis trente ans (avant, il était moins ridicule) avec ses Harley, ses mauvaises fringues et ses shows remplis de cuir et de sueur (deux éléments qui ne correspondent pas à ma vision de l'élégance). Simplement, vu le tapage médiatique que son état de santé engendre, je me demande ce que ça va être quand il va passer l'arme à gauche et qu'on va le mettre dans la boîte (non, pas "à coucou"). Ca sent le jour de deuil national. Je n'aimerais pas être dans les santiags de Christian Audigier ce jour-là. Il va être tout triste, le bonhomme. Christian Audigier... Le pauvre Johnny choisit aussi mal ses amis que ses chirurgiens... Bon, allez, j'arrête d'être cynique. Mais j'ai toujours préféré Eddy Mitchell à Johnny Halliday, Schmoll à Smet, que voulez-vous. Plus sympa, plus drôle, plus classe. Et c'est grâce à lui et sa "Dernière séance" que, dans les années 80, j'ai pu découvrir des chefs d'oeuvre comme "L'étrange créature du lac noir", "Le septième voyage de Sinbad", "Tarantula !", et tant d'autres.
La semaine dernière, Hugh Hefner, 83 ans, est passé à deux doigts (je ne dirai pas où) de la mort. Quand les secours sont arrivés au Playboy Mansion, qu'ont-ils trouvé ? Le sémillant octogénaire, dont le prénom sonne comme un cri de défi indien, en train d'enterrer la hache de guerre avec... pas une, pas deux, pas même trois, non, quatre playmates dont l'âge total devait à peine atteindre celui de leur partenaire en peignoir de soie. Quatre ! Mazette, on se dit que son coeur a dû s'emballer devant l'ampleur de la tâche, expliquant ainsi le malaise qui a failli l'emporter. Que nenni, les secours ont ramassé le lubrique vieillard, en train de s'étouffer avec une boule de geisha... Voilà ce qui arrive quand on refuse son âge. Normalement, à 83 ans, les seules boules que l'on manipule, ce sont des boules de pétanque, avec les copains de la maison de retraite "Les Sapins éternels". En tout cas, cette nouvelle va certainement regonfler à bloc notre Goudurix, qui a encore de belles années devant lui... Quant à vous, Hugh, si jamais vous lisez "Fury Magazine" (ben quoi, je lis bien "Playboy", moi. Ca ne serait que politesse de votre part), on ne peut que vous conseiller d'arrêter de gober le viagra à la louche. Rompez, Hefner !
