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Créé en mars 2007

computer

Fury Magazine, toujours à la pointe de l'actualité d'il y a cinquante ans en arrière.

Nos garanties :

- Tous nos articles sont écrits sur des ordinateurs à fiches perforées gros comme une camionnette.

- Nos rédacteurs ne communiquent entre eux que par téléphone filaire.

- L'un d'eux est né avant 1960.


"Nous sommes l'avant-garde du passé."

Modern life is rubbish...

periscope.jpg
... quoique...
Par Oddjob
  

"Dans des aventures sensationnelles, inédites… Spirou présente… Un type extraordinaire les amis ! Jean VALHARDI ! Un gaillard plein d’allant et de courage que vous aimerez. Comme vous aimez les héros de Spirou…"

Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire ! Précipitez-vous chez votre libraire favori et plongez-vous dans les aventures de VALHARDI, le célèbre détective dont la poignée de main, franche et ferme, était le signe de reconnaissance des membres du Club des Amis de Spirou. Eh oui, les belles éditions DUPUIS, nous proposent, enfin, une magnifique intégrale digne de ce nom, avec un premier tome regroupant les années 1941 à 1946, avec Doisy au scénario et surtout Jijé au dessin. Alors mieux qu’une distribution de cartes de rationnement gratuites… lisez les enquêtes de VALHARDI !

Vous En Voulez Encore ?

Trop chauve pour être une rock star, trop asthmatique pour être footballeur, pas assez alcoolique pour être écrivain, trop Français pour être Anglais, pas assez suicidaire pour être artiste, trop intelligent pour la télé-réalité. Il ne me restait pas grand' chose, et ce pas grand' chose, c'est devenu Fury Magazine. Hong Kong Fou-Fou


Rédaction :
wally gator logo Wally Gator : rugby de village, communion solennelle et charcuterie.
Eleve-Moinet-2.jpg  Elève Moinet : permis B, Première étoile, BEPC (mention Assez bien)
oddjob logo 2 Oddjob : KPM, RKO et Kop Boulogne.
barbidule-logo.jpg Barbidule : contradictions, bals de village et coloriage.
Getcarter logo Getcarter : mod, mod, mod.
hkff logo Hong Kong Fou-Fou : soins capillaires, huile de moteur et kilomètre arrêté.

N'hésitez pas à nous écrire : fury.mag@gmail.com (Pas de compliments, nous sommes modestes. Pas de critiques, nous sommes susceptibles. Pas d'insultes, nous sommes hyper baraqués. Pas de propositions à caractère sexuel, nous sommes fidèles.)
Vous pouvez également devenir fan de Fury Magazine sur Facebook (ici : Fury Magazine sur Facebook).
6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 15:03
Par GoudurixYZ
Au cas où vous ne l’auriez pas déjà remarqué, je suis un frustré. Doublé d’un affabulateur. Pour faire l’intéressant, je n’ai rien trouvé de mieux que de vous parler de films que je n’ai pas vus et que je ne suis pas près de voir. Mais bon, à Fury Magazine nous avons déjà eu droit au livre chroniqué avant d’avoir lu la fin, pourquoi pas les films dont on parle sans les avoir vus. On aura tout vu ! Eh bien non, justement. C’est que j’ai à faire à un genre de films en voie de disparition. Un genre pas idéal mais avec toutes les options. Normal pour un frustré. Le pimp my ride du 7ème art : des savants fous dans leur tête, des super-héros asthmatiques, des nazis paranos et des créatures, comment dirais-je… heu, des créatures. D’accord, j’ai vu les films de Jack Arnold, "Le jour où la Terre s’arrêta" et tout le tremblement. Même tout Ed Wood. Si, si, c’est vrai ! Et plein de Mario Bava. Mais ce que je veux, je voudrais pardon, c’est du sordide, de l’indigent, la série B de la série Z. Le genre de film dont on ressort tout chose. Ah, quelle douce sensation que de ressortir tout chose. Mais comment faire ? Ciné FX ? Mouais. Le vidéo club de Denfert Rochereau ? Pas pratique de ramener son DVD quand on habite à 800 km de là. TF1 ? Allons… Sachant que le plus jeune de ces spécimens date de 1966, il y a fort à parier que les années qui viennent n’arrangent pas les choses. Ah, il y a des moments dans la vie où il faut savoir dresser un bilan sans complaisance et revoir ses ambitions à la baisse. Bah, un mauvais moment à passer. En attendant gloire à ces producteurs qui ne doutaient de rien...

 She demons (Richard E. Cunha, 1958)

Raus, raus, schnell ! Un savant fou et SS de surcroit, exilé sur une île du Pacifique, se livre à d’étranges expériences sur les ménagères locales de moins de 50 ans… Programmé par Dionnet sur Canal Jimmy à l’époque où la chaîne avait encore un peu d’ambition, ce chef d’œuvre situationniste fut déprogrammé sans explications. Encore un coup de la CGT.

Mesa of the lost women (Herbert Tevos, 1952)

Au cas où, mon chez moi s’appelle mesa.

La vampire érotique (R. L. Frost, 1962)

Sang et sexe, hum… De quoi ce film peut-il bien parler ? Je ne vois pas.

Tobor the great (Lee Sholem, 1953)

Il m’a fallu des années pour réaliser que Tobor était l’anagramme de robot. Un comble. Oui, je suis un frustré, doublé d’un affabulateur, doublé d’un abruti.

The phantom (B. Reeves Eason, 1943)

40 ans avant les ineptes 4 fantastiques, X-men et Surfer d’argent, le Phantom essuyait les plâtres. Quoi, le Phantom faire le ménage ? Et puis quoi encore !

La vie sexuelle de Frankenstein / Kiss me quick (Max Gardens & Peter Perry, 1964)

Rebaptisé Kiss me quick, cela voudrait-il dire que notre monstre préféré ne tiendrai pas la distance ? En clair, ce ne serait qu’un simple éjaculateur précoce ? Comme vous et moi ? Comme quoi la taille ne fait pas tout. Pourvu qu’en plus il ne bâcle pas les préliminaires.

Frankenstein meets the space monsters (Robert Gaffney, 1965)

Au moins nous sommes tranquilles pour 150 ans.

I married a monster from outer space (Gene Fowler Jr, 1958)

Encore une histoire de sans-papiers. Allez, dans une fusée charter !

Lady Frankenstein (Mel Welles, 1971)

Années 70, le savant est désormais une savante. Oui, son regard concupiscent converge avec le vôtre. Ne mentez pas. Pourvu qu’elle ne soit pas presbyte, elle qui essaie de créer l’homme parfait. It’s alive ! it’s alive ! C’est dans la poche, tu l’auras, heu pardon (c’est une baronne), vous l’aurez  votre orgas…heu, moment de plaisir intense.

Argoman super diabolico (Piero Umiliani, 1967)              

Rebaptisé Superman le diabolique... Faut pas exagérer. Le fait de mettre son slip par-dessus son collant peut-être…

I was a teenage Frankenstein (Herbert L. Strock, 1957)

I was a teenage werewolf (Gene Fowler, 1957)

Imaginez ce pauvre ado. Se retrouver dans la peau du monstre, passe encore. Mais se  transformer en loup-garou les soirs de pleine lune, ça ne doit pas être pratique, pratique pour rentrer au Macoumba ou au Jimmy’s. Manquerait plus qu’il habite une banlieue difficile.


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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 07:35
Par Wally Gator

A l’heure où l’on commence à voir un peu partout sur la toile des trailers du remake de la célèbre série "The Prisoner", je m’interroge…

Quel intérêt peut présenter un remake ? Que ce soit d’une série par une série, d’une adaptation cinéma d’une série ou d’un film par un film, les puristes vous diront globalement qu’il n’y en a pas ! Pour ne citer que trois exemples : "The Prisoner", "Wild Wild West" et "L’emmerdeur", trois remakes trois échecs ? Pour "The Prisoner", qui sait ? Il faut être honnête, personne n’a encore rien vu, mais le trailer ne laisse rien présager de très bon… Le principal problème est que faire du neuf avec du vieux cela ne marche pas forcement bien, surtout si l’on veut absolument faire dans le spectaculaire, l’explosion à tout va et transformer les héros en athlètes complets parfaitement fitness-ités ! N’oublions pas le pire : vouloir absolument placer un acteur parce que c’est celui qui a la côte ! Souvenez vous de W. Smith en James West : sans rire, vous y avez cru ? Et que dire de "L’emmerdeur" dernière version… Un flop total… En même temps, c’est normal, vous aviez Lino Ventura et Jacques Brel, excusez du peu, et on vous sert R.Berry et P.Timsit…Je n’ai rien de particulier contre eux mais tout de même ! De temps en temps, je divague et j’ai des angoisses. Un remake de "Le Cerveau" avec J. Debouze en Arthur Lespinasse, Ramzy en Anatole et V. Diesel en Colonel Matthews : sous l’œil bionique et cruel du Colonel, le train s’envole dans une terrible explosion post-apocalyptique en faisant un quadruple saut périlleux, sur un fond de rires nerveux puisque Arthur et Anatole sont restés accrochés au wagon, ne vous en faites pas, ils vont s’en sortir, ils ont des parachutes… Brrr, j’en ai froid dans l’dos !

Ce qui m’amène à une autre question : quelles sont les motivations des gens qui font des remakes ? Franchement, à part faire de la thune sur un vieux concept qui a super bien marché, vous en voyez une autre vous, de motivation ? Moi, non. Le jour où un "remaker" me prouvera qu’il veut véritablement apporter quelque chose à l’édifice et que le pognon ce n’est pas l’essentiel alors je me méfierai moins.

On peut alors penser à "La Bataille des Thermopyles" et à "300". Mais parle-t-on vraiment de remake dans ce cas précis ? Je ne pense pas. En effet, le sujet traité est le même, certes, mais la façon de le traiter est complètement différente ! Si vous aimez les péplums (les pépla ?) hollywoodiens, paf : "La Bataille des Thermopyles" ! Une bonne guerre à l’arme blanche vue par l’Amérique du début des années soixante : bien propre et bien aseptisée. Vous préférez l’interprétation du dessinateur Franck Miller, hop : "300" ! Et là, on étripe, on découpe, c’est sombre, c’est malsain, c’est sanguinolent, c’est même à la limite du fantastique ! Bon, je retire ce que j’ai dit sur les explosions et les chippendales par la même occasion…


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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 13:00

Par GoudurixYZ

 

1978, le dessinateur espion lance une terrible prédiction : "Viré ! Ces salauds m’ont viré ! Mais je me vengerai. Un jour, moi aussi mes dessins couvriront le monde. J’aurai ma photo dans les magazines. Je passerai au journal télévisé !"

2009,  celle-ci se réalise enfin. Serge Clerc est dans (Fury) magazine. Ca tombe bien, c’est un (jeune) homme moderne.


Date : 26 septembre 2009.

Lieu : FID, chapelle Saint-Dominique, séance de dédicaces.

Température : élevée.

REC. ON

Fury Magazine : Serge Clerc, il paraît que...

Klare Lijn : Etes-vous plutôt ligne claire ou style atome ?

La question retentit dans l'assistance médusée.

Serge Clerc : A vrai dire, je ne sais pas. C’est un nouveau concept, mais j’ai du mal à y répondre. D'après vous ?

FM : Personnellement ? Je pense que vous êtes à l'intersection des deux.

SC : Le style atome en fin de compte, c'est quoi ?... Un certain dynamisme ?

FM : Oui, je pense. L'esprit de 1958, l'optimisme. Disons qu'on a coutume de dire que Spirou et Marcinelle, c'est le style atome, Tintin et Bruxelles, la ligne claire.

SC : Alors, je suis plutôt atome. Jijé, le maître, et tout ça.

FM : D'après votre concierge, vous laissez la lumière allumée toutes les nuits jusqu'à 6 heures du mat'. Peut-on savoir pourquoi ?

SC : Parce que je suis insomniaque.

FM : C'était une manière de vous demander quels sont vos projets.

SC : J'ai plein de projets ! Mais pas un de précis en particulier. C'est mon problème. J'en ai au moins une quinzaine. Mais je ne sais pas trop comment ça va se passer. Ca dépend des éditeurs, mais aussi de moi. Il faudrait que je me décide et que je m'y mette !

FM : Que devient Sam Bronx ?

SC : J'ai quand même un projet plus avancé avec Phil Perfect et donc Sam Bronx, qui s'appellera "Le grand plus rien". A côté de ça, il devrait y avoir des rééditions. Toutes les histoires rock d'un côté et toutes les aventures de l'autre.

FM : Et Johnny Bahamas ?

SC : Alors là, par contre...

FM : Pour "Meurtre dans le phare", avez-vous fait des repérages ?

SC : Oui, je suis allé dans un phare pour faire des croquis. Du côté de Brest, je crois.

FM : Et à Mosquito Bay ?

SC : Et à Mosquito Bay, aussi.

FM : Parlons encore un peu dessin. Quand savez-vous qu'une case est terminée ?

SC : Je ne sais jamais quand une case est terminée.

FM : Parlons mode à présent : vous êtes plutôt Akim ou Zembla ?

SC : Les deux ! Comme les Beatles et les Stones, comme Spirou et Tintin.

FM : Quel est votre robot préféré ?

SC : Je n’en ai pas. J’aime l’esthétique, mais j’en ai pas un en particulier. Disons que j'aime tout ce qui est design. Le design en général : des pochettes de disques, aux canapés en passant par l'architecture, la typo, tous ces trucs-là. Mais rien en particulier.

FM : Quel est votre plus grand rival ?

C'est Chaland !! Vous aviez une rivalité au départ ! remarque remarquablement Klare Lijn.

SC : Pas une rivalité. Une émulation, oui, c’est plutôt ça : une émulation.

FM : Quel est votre album de Serge Clerc préféré ?

SC : Bonne question… "La nuit du Mocambo".

FM : Quels sont votre Gil Jourdan et votre Spirou préférés ?

SC : Ceux du milieu. "La voiture immergée" pour Gil Jourdan, et on va dire "La mauvaise tête" pour Spirou.

FM : Quel est le livre que vous rêveriez d'avoir écrit ?

SC : "Les liaisons dangeureuses". Ahahah.

FM : Vous préférez les New York Dolls ou les Pussy Cat Dolls ?

SC : Les quoi ?

FM : Les Pussy Cat Dolls, c’était pour essayer d’être un peu spirituel.

SC : Je ne connais que les New York Dolls !

FM : Vous écoutez quoi aujourd'hui ?

SC : Je suis un peu largué alors qu’il y a plein de trucs bien, mais j’ai du mal à les trouver et surtout à y mettre un nom.

FM : Vous en êtes content, de votre bagnole ?

SC : Je n'ai pas de bagnole.


http://klarelijninternational.midiblogs.com

http://www.atoomstijl.nl/clerc

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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 00:01
Par Wally Gator, GoudurixYZ et Hong Kong Fou-Fou


Contribution de GoudurixYZ
Vive la fête : Disque d'or
Vive la fête ! Vive la fête ! Vive la fête !
Dead Weather : Treat me like your mother
1/2 Kills + 1/2 White Stripes + 1/4 Raconteurs + 1/5 Queen Of The Stone Age = 1/11 bonne chanson. Un groupe qui milite pour le téléchargement.
Cage The Elephant : Ain't no rest for the wicked
Ain't no rest for the wicked ou  pas de repos pour les graves. A quelle heure je mets mon réveil ?
Hockey : Learn to lose
Learn to lose ? C'est Hockey pour moi.
Patrick McNee & Honor Blackman : Kinky boots
Dans les cartons à chaussures de Gameiroboy et toujours pas dans Fury Magazine ? Tsss. Et dire qu'en plus elle chante... La plus belle femme du monde, la James Bond girl, l'Avenger a... 82 ans. Tout fout le camp.
Quelqu'un saurait-il comment avoir du Prozac sans ordonnance ?



Contribution de Wally Gator

Du vieux, du neuf, il y en aura pour tous les goûts ce mois-ci, enfin, surtout pour ceux qui ont les mêmes que moi !

Cucumber : Shocking

Cucumber est une formation qui travaille main dans la main avec Stéréo Jerk Explosion. Vous savez, je vous en ai déjà parlé de ceux-là… Souvenez-vous : le bon goût des organisateurs du Psychotic Run, cela doit vous rappeler quelque chose ! Et puis, tant que j’y suis, on peut aussi citer :

The Strawberry Smell : Balthazar

Avignon toujours, moins organ, largement plus pop, powerpop, comme ils disent eux-même : la vache, ça c’est bien !

The Joy Formidable : Greyhounds in the slips

Dernier morceau de ce groupe qui m’a vraiment captivé dès la première écoute. Ce titre est terrible, comme leur album "A Balloon called moaning".

The Cardigans : My favorite game

Ce n’est pas vraiment une nouveauté mais tout de même, je ne crois pas avoir déjà parlé d’eux, c’est injuste !

Belle et Sebastian : The boy with the Arab strap

Rien à dire, une perfection… De la pop dans l'état le plus rafraîchissant qui puisse exister.

 



Contribution de Hong Kong Fou-Fou
M.O.T. : Sign of the times (2009)
Wally Gator et moi-même, nous ne sommes pas les plus grands fans de Madness de France. Il y a à Paris un p'tit gars qui est encore plus accro. Il s'occupe du site French-MIS (French Madness Information Service) et, à l'occasion des trente ans de Madness et en collaboration avec le label Big 8, il vient de sortir un album-hommage, composé de 23 versions de classiques des Nutty Boys, enregistrées par des groupes actuels du monde entier. Parmi tous ces morceaux, cette reprise de "Sign of the times" est vraiment impec'. Vous savez, le genre de truc qui motive avant d'aller au foot...
The Crookes : A collier's wife (2009)
Pas question de foot, ici. Plutôt de pique-nique dans l'herbe, de partie de cache-cache dans la forêt, de chasse aux papillons (mais sans les tuer, hein !), et tout ça avec un sourire béat aux lèvres.
http://www.myspace.com/thecrookesmusic
The Answering Machine : Oklahoma (2009)
Après la musique d'ascenseur, la musique de répondeur. Mais là, je veux bien attendre.
http://www.myspace.com/theansweringmachine
The Crabs Corp. : Let it go (2009)
Quand un groupe de reggae de Buenos Aires s'adjoint les services de Dave Barker et de Jennie Matthias (ex-Belle Stars, pour ceux d'entre vous qui ont été excités par l'annonce de la sortie de la compile "30 years of Madness" ci-dessus), ça donne ce morceau, forcément classique mais qui donne envie de malmener le plancher avec ses Astronauts.
http://www.myspace.com/thecrabscorporation
Paul Heaton : I do (2008)
Paul Heaton : Mermaids and slaves (2008)

J'adore les Housemartins et j'adore les Undertones. Paul Heaton partage avec Feargal Sharkey un physique un peu difficile. Pas vraiment moches, hein, mais pas non plus du genre à se mettre sur les rangs pour remplacer Filip Nikolic chez les 2be3...  Tu leur glisses une calculatrice dans la main et ils ressemblent à un major de promo de Polytechnique. Justement, ils ont dû être un peu chahutés à l'école, et c'est naturel qu'ils aient eu envie plus tard de traduire tout ça en chansons. Et quelles chansons ! Des claques à chaque fois... Comme je n'arrivais pas à me décider, entre "I do" et "Mermaids and slaves", j'ai mis les deux.


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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 07:35
Par Hong Kong Fou-Fou

Ce week-end se tenait à Perpignan la 21ème édition du Festival International du Disque et de la BD. Tandis que je furetais entre les piles de Disco Revue, les posters d'Iron Maiden ou des Platters, les premiers pressages d'Abba, des Artwoods ou de Dick Rivers, les éditions originales de Cori le Moussaillon, je me suis fait la réflexion suivante : dans vingt ans, il ressemblera à quoi, ce festival ? Aujourd'hui déjà, les jeunes n'achètent plus de disques, ils ne font que du téléchargement, ils lisent des BDs numérisées sur leur écran d'ordinateur. Je n'arrive même pas à faire comprendre à mon fiston la différence entre un vinyl et un CD. Dans vingt ans, les visiteurs du Festival déambuleront dans des allées vides, leur ordinateur-téléphone-lecteur-unité de stockage à la main (ou greffé DANS la main ??? Argh !!!). Un "bip" sera émis lorsqu'ils seront à proximité d'un vendeur qui proposera un fichier qui les intéressera. Hop, connection d'un câble USB (ou son équivalent du futur), et ce sera dans la boîte, le paiement prélevé automatiquement. Finis, les doigts poussiéreux qui cherchent fébrilement dans les piles de 45t. Envolées, les tonnes de bouquins, magazines et BDs qui encombrent garages ou greniers. Oubliée, l'inspection minutieuse de l'objet du désir, à la recherche d'une fine rayure, d'une légère déchirure. Un fichier électronique est toujours Mint. Saleté d'électronique, qui s'insinue partout, qui nous bouffe la vie à force de trop vouloir nous la faciliter. A mort l'électron, vive le cro-magnon ! Cro-magnon, peut-être pas. Mais l'Antiquité, tiens ! Là on savait vivre ! Une vie saine, du sport, du fromage de chèvre avec quelques olives, du vin en amphore, les femmes nues sous leur tunique, des discussions avec les copains le soir sur la terrasse, face aux vignes et à la mer. Sans être dérangé par cette saloperie de téléphone portable.  Pas de Koh-Lantum à la télé, pas de console Nintendum. SMS, non ! SPQR, oui !
Ah, on me signale dans mon oreillette que le mot "électron" vient du grec
ήλεκτρον, qui désigne l'ambre. Nos ancêtres de l'Antiquité avaient découvert les propriétés électrostatiques de ce matériau, et donc l'électron. Ah ben bravo, les gars ! Deux mille ans après, vous nous avez mis dans une belle panade !...
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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 22:24
Par Hong Kong Fou-Fou


Ce matin au boulot, je bavardais avec Wally Gator en attendant que le précieux breuvage noir, qui allait transformer deux loques endormies en brillants scientifiques au cerveau vif, ait fini de se préparer. Le sujet de discussion, c'était les lois loufoques qui avaient traversé les années, survivant aux ravages de la modernité. Ainsi, selon une loi du 26 brumaire de l'an IX de la Révolution, les femmes n'ont pas le droit de porter un pantalon. Vous ne rêvez pas, messieurs ! Si demain vous croisez dans la rue une jeune femme en pantalon, et que vous souhaitez admirer le galbe de son mollet, voire plus si affinités, vous pouvez la prier, que dis-je, lui ordonner, d'aller fissa mettre une jupe ! Est-ce que la loi précise qu'elle n'a pas le droit de vous retourner une tarte, ça je ne sais pas. De même, il est interdit de se balader dans la rue avec un couteau sur soi, même un minuscule canif pouvant à peine couper une plaquette de beurre. Par contre, vous avez le droit de déambuler fièrement, une épée au côté... Là encore, un vestige de la Révolution, destiné à offrir aux gens du peuple les mêmes droits que les nobles, et que l'on n'a jamais pensé à abroger...

Alors ni une, ni deux, cette conversation m'a donné envie de farfouiller sur le net, pour voir s'il n'existait pas, de part le vaste monde, d'autres lois stupides, ridicules, scandaleuses, chacun les jugera comme il veut, qui seraient toujours en application. Voici un petit florilège de ce que j'ai trouvé...

Au Liban, les hommes peuvent, de par la loi, avoir des rapports sexuels avec des animaux, du moment que ce sont des femelles. Avoir des rapports sexuels avec des animaux mâles est un déli, puni de mort.
Les légionnaires sont au courant depuis longtemps.

Dans le Bahreïn, la loi autorise un médecin de sexe masculin à faire un examen gynécologique à une femme, mais il ne peut regarder directement ses organes génitaux. Il peut seulement les voir dans un miroir.
Miroir, gentil miroir, dis-moi qui est la plus belle !

Il est interdit aux musulmans de regarder les parties génitales d'un cadavre, ce qui vaut également pour les croque-mort ; les organes sexuels des défunts doivent toujours être recouverts d'une brique ou d'un morceau de bois.
Du bois bandé ?

En Indonésie la masturbation est punie par la décapitation.
Hmm, celle-là, elle a été rédigée par une vraie tête de noeud.

Au Guam il y a des hommes dont le travail à plein temps consiste à courir la campagne pour déflorer les jeunes vierges, qui paient le privilège de connaître un homme pour la première fois. Le motif : sur cette île, la loi stipule clairement qu'une femme vierge ne peut pas se marier.
Si on se dépêche, on peut attraper le prochain avion !

A Hong Kong, une femme peut tuer son mari adultère, la loi le lui consent, mais elle peut le faire seulement à mains nues. La maîtresse de son mari, par contre, elle peut la tuer comme elle veut.
Voilà pourquoi il faut choisir une épouse maigrichonne et faible...

A Liverpool, Angleterre, la loi admet les vendeuses topless, mais seulement dans des magasins où l'on vend des poissons tropicaux.
Et des ourseins, aussi ?

A Cali, Colombie, une femme ne peut avoir des rapports sexuels qu'avec son mari. La première fois, cependant, la mère de la femme doit être présente dans la pièce.
- Si j'étais vous, je ne m'y prendrais pas comme ça...
- Pfff, s'il vous plaît, belle-maman !...

En Alaska, il est légal de tuer les ours, mais il est illégal de les réveiller pour les photographier.
C'est ça, une nature morte ?

A Gary, Indiana, il est illégal d'aller au théâtre moins de 4 h après avoir mange de l'ail.
Surtout si c'est pour aller voir jouer  "Entretien avec un vampire"...

Dans l'état américain du Maryland, les distributeurs de préservatifs sont interdits. Ils cessent de l'être seulement quand ils se trouvent dans des endroits où l'on vend des boissons alcoolisées à consommer sur place.
Ben oui, après quatre ou cinq Bud, tout le monde est beau et sexy...

Au Royaume-Uni, il est illégal de mourir dans les Chambres du Parlement.
Même d'ennui ?

Au Royaume-Uni, une femme enceinte a le droit de donner naissance à son enfant elle-même, même dans le casque d’un officier de police si cela s’avère nécessaire.
Si c'est un garçon, elle doit l'appeler Bobby ?
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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 07:35
Par GoudurixYZ

Rompez, Hogan ! Chers amis, permettez moi de trahir un secret de fabrication : c'est HKFF, mon patron, qui est l'auteur du titre de cette rubrique. Voilà ce que l'on peut appeler un acte lourd de sous-entendus. Je ne sais pas pourquoi, j'ai comme l'impression que cet ordre péremptoire s'adresse à moi. Wally Gator et moi au garde à vous dans la neige, face au colonel Hong Klink Fou-Fou "Où est mon monocle ?". Un colonel qui s'adresse à un autre colonel, voilà une belle promotion. Certes. Sauf que l'un est prisonnier de l'autre, si je ne m'abuse... D'ici à ce que je me retrouve consigné dans une baraque, sans électricité, il n'y a qu'un pas. Y a pas à dire, à Fury Magazine on deviendrait presque parano. Bah, un mauvais moment à passer.
Puisque nous sommes en plein Stalag 13 et que je ne vais pas inaugurer - en ce qui me concerne - cette rubrique pour maugréer, autant faire de l'occupation. Juste retour des choses. Sachez que je suis en mesure de vous révéler un secret historique. Parfaitement. Comme Alain Decaux ou Max Gallo. Mais avant cela petit rappel des faits : Bob Crane, alias le colonel Hogan fut marié avec... Hilda, la secrétaire du colonel Klink et l'ambiance sur le tournage des 168 épisodes était aussi tendue qu'un fil de fer barbelé, Richard Dawson - Newkirk - lui vouant une haine tenace, mécontent de son rôle de faire-valoir (il me semble que Wally Gator me regarde méchamment ces jours-ci. Bah, un mauvais moment à passer). Largué après l'arrêt de la série, Bob Crane trouva refuge dans le sexe (si je peux m'exprimer ainsi) au point de devenir un véritable obsédé sexuel. Comme dans ebay, il parvint à allier ses deux passions : sexe et vidéo, ce qui lui permit de devenir l'auteur de cette efficace maxime qui aurait mérité de figurer dans feu la rubrique La citation de la semaine : "une journée sans sexe est une journée de perdue".
Maintenant, il est temps de tenir ma promesse : Hogan fut assassiné pendant son sommeil. On ne retrouva jamais l'assassin. Etais-ce :
- Un mari jaloux ?
- Son meilleur ami ?
- Un néo-nazi ?
Nous ne le saurons jamais. Une chose est sûre, c'était un sacré inglourious basterd !
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19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 23:58
Par Hong Kong Fou-Fou

Ce matin en allant chercher mes croissants, je suis passé devant un kiosque à journaux (j'ai une vie exaltante, vous vous rappelez ?). Sur la devanture, la couverture du dernier numéro de Rolling Stone annonçait : "R.I.P. Oasis - Dossier exclusif ! Les raisons du split". Sur la couverture, Noel Gallagher me regardait, l'air penaud, me suppliant presque de sortir 5,95 euros de ma poche pour acheter un exemplaire. Ni une ni deux, j'ai sacrifié les croissants du week-end et investi l'argent économisé pour, enfin, découvrir les vraies raisons du fameux split.
Tu parles d'une arnaque... Les pseudo révélations sont aussi passionnantes qu'une lecture publique d'un texte de Marguerite Yourcenar par un narcoleptique...
Alors puisque depuis le 28 août dernier, on peut lire ou entendre tout et n'importe quoi sur les pourquoi du comment de la séparation, et qu'à Fury Magazine, le n'importe quoi, ça nous connaît, nous nous sommes posés quelques questions qui vont maintenant vous permettre de découvrir duquel de nos rédacteurs vous êtes le plus proche, en ce qui concerne la fin d'Oasis, en tout cas.

Question 1 : Pour vous, l'annonce de la séparation d'Oasis, c'est :
a) la pire nouvelle depuis la reformation des Sex Pistols et d'Yvette Horner. Comment ça, Yvette Horner ne s'est pas reformée ? Ben elle aurait peut-être dû, parce que la dernière fois que je l'ai vue, elle était vraiment difforme. En tout cas, plus d'Oasis, c'est un cauchemar...
b) un mauvais moment à passer. Mais, eh, on a le bouclier de Brennus !
c) aussi grave que la disparition de la reinette à plumes dans les marécages du Kazakhstan. Tant que les Sparks ne se séparent pas, tout baigne. 

Question 2 : Pour vous, la vraie raison de la colère de Noel, c'est :
a) Il commence à perdre ses cheveux, et pas Liam. C'est injuste, et je suis bien placé pour le dire.
b) Pas besoin de chercher des raisons, c'est que des cons de roastbeefs qui ne sont pas foutus de respecter la notion de fraternité.
c) Liam a été vexé que les joueurs de Manchester City refusent de s'habiller en Pretty Green, Noel s'est fichu de lui en disant que même les majorettes de la ville n'auraient pas accepté.

Question 3 : Comment voyez-vous le futur des Gallagher ?
a) Liam va finir à Los Angeles à vendre des jeans, Noel va enchaîner les disques solo et les pubs pour des soins capillaires.
b) C'est des cons de roastbeefs, donc : gros, gras, gorgés de bière, avachis devant le foot à la télé.
c) Comme le mien : sex, drugs and rockin' chair.

Question 4 : OK, Oasis c'est fini, il faut se faire une raison.
a) Tant pis, je me console en me disant qu'ils resteront le meilleur groupe d'Angleterre, et donc du monde. Le meilleur... Bon, il y a aussi les Small Faces, les Clash, les Undertones. Un des meilleurs, disons.
b) Mmouais, je vais attendre quelques années avant de revendre leurs disques sur ebay, on ne sait jamais.
c) Faudra quand même que j'écoute, un jour. Mais j'ai tellement à faire, entre l'Equipe, Jacquie et Michel, la compile mensuelle des Inrockuptibles...

Question 5 : Cette dernière question n'a rien à voir avec les Gallagher, mais je ne savais plus quoi dire... Pour vous, les roustes :
a) Ca se déguste avec de l'ailloli.
b) Ca ne se déguste pas, ça se baffre, tarlouze !
c) Je ne sais pas ce que c'est, et de toute façon je ne mange que des céréales de régime.

Verdict :

Vous avez un maximum de a) : Vous pensez comme Hong Kong Fou-Fou. Félicitations, vous irez loin dans la vie. Peut-être même qu'un jour, vous dirigerez un magazine sur Internet. Hmm, ne rêvons pas.
Vous avez un maximum de b) : L'esprit de Wally Gator vous anime. On va donc essayer de ne pas vous contredire.
Vous avez un maximum de c) : GoudurixYZ est votre maître à penser. J'espère que vous ne faites pas aussi dans l'élégance suave. Parce que deux playboys quinqua, ça ferait un de trop...
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 00:18
Par GoudurixYZ

Après avoir passé 6284 heures sur les pages Chaland d'Ebay et être tombé 12256 fois sur "le chaland qui passe", vous l'avez compris plus vite que moi (l'émotion !), me voici enfin vengé. L'heure de la rédemption a sonné. Je suis donc fier de vous présenter le "(Yves) Chaland qui passe". Chaque mois, un collector rien que pour vous. Je viens de faire les comptes, cette rubrique devrait durer 12 ans et 3 mois.
PS : Nous cherchons toujours un volontaire pour "La place du Stanislas (Barthélémy)".
 
Années 80 (oui je sais cette rubrique commence souvent comme ça) par une après-midi tempérée, je fais grincer la veille  porte métallique (porte métal grinçante) du Futur Antérieur à Perpignan. Sur le comptoir, une rangée de verres de demi vides. Sous le comptoir, une petite affichette (désolé du pléonasme) "Réservation tirage de tête Cimetière des éléphants / Chaland".
- Heu, c'est combien ?
- Je l'veux.
- C'est-à-dire que, premièrement si tu savais lire, tu aurais vu que c'est une réservation, il ne sort que dans un mois et deuxièmement c'est limité à 777 exemplaires... J'ai réussi à en avoir 5.
- Et alors ?
- Tu es le numéro 6.
- Quoi ? Je ne suis pas un numéro ! je suis un homme libr...Heu... Qui est le numéro 2 ? Hum, le numéro 5 ?
- Machin chose.
- Non pas lui. Pas encore lui (avec l'intonation de Papa Schultz, mais sans l'accent).
- Si.
- Mais quand est-ce que t'as mis l'affiche ?
- Quand j'ai ouvert à 4 heures moins 20.
- Mais il est à peine 5 heures.
- Je sais.
Quelques temps plus tard, comme on dit dans les descriptifs des BD.
Dring dring !
- Allo, la librairie Molière à Montpellier ? Voilà, je vous appelle pour voir s'il vous resterait un tirage de tête du Cimetière des éléphants de Chaland ?
- C'est à dire qu'il les a dédicacés ici samedi dernier et on les a tous vendus...
- Quoi ?
- Attendez, bougez pas... (Il brame au bout du fil). Dis-moi, tu veux revendre ton Chaland dédicacé ?
- Tu peux répéter, j'ai pas bien entendu.
- Tu veux revendre ton chaland dédicacé ? 
- Ah ah ah ah ah ah ah ah
 
Indice de rareté 4/5.
 
Un des 777 exemplaires disséminés sur notre chic planète. Couverture inédite mate à l'ancienne, dos skyvertex, numéroté, signé. Le comble de l'élégance. Parfois, j'ai presque envie de me promener avec sous le bras.
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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 07:30
Par Wally Gator

Une vie de Gala-Guerre : c’est leur vie à ces gars-là !


Oasis a annulé sa tournée et le groupe n’existe plus. Voici ce que l’on pu lire en substance à peu près partout sur la toile : la sale nouvelle de l’été.

Au-delà de savoir si cette séparation est définitive (mais cette fois, il semblerait bien que oui), outre le fait que cette attitude soit certes très rock’n'roll mais complètement anti-professionnelle vis-à-vis des engagements que le groupe avait pris, je me suis posé la question du "pourquoi" et du "comment".

"Pourquoi ?" : tout le monde le sait. Les frères Gallagher se sont battus, et ce n’est pas la première fois, mais cette fois-ci cela serait allé très loin. Mais ce n’est pas ce "pourquoi" qui m’interpelle. C’est plutôt le comment et pourquoi deux frères en arrivent à de telles extrémités ? Telles qu’elles leur fassent perdre tout sens commun !

Je ne sais pas si c’est ma morale familiale "traditionnelle" qui m’empêche d’éprouver la moindre rancune envers un de mes frangins, mais tout de même !!! Y a une couille dans l’potage ! Ceci dit, c’est vrai que moi avec mes frères, je suis plutôt sur le registre "Tu touches mon frère, tu payes. Tu payes cash et cher". Donc, forcément, je comprends mal…

Alors, qu’est-ce qui s’est passé dans leurs têtes de rosbeefs ? Drogue ? Alcool ? Filles ? Je crois savoir que cette époque est quelques peu révolue. Ils sont plus vraiment dans le besoin les gugusses ! Serait-ce cette saleté de soif de pouvoir qui a frappé ? J’en ai bien peur… A la rigueur, j’aurais préféré une bonne bagarre de soulos : une baffe, deux baffes, on s’agrippe, on se roule par terre, on fait plus de vent que de vrais hématomes et ensuite on s’embrasse !

Enfin bref, tout cela est bien dommage. Mais, comme à notre réunion de rentrée (briefing, devrais-je dire) le brillant GoudurixYZ (employé du mois à l’année, pour ceux qui ne le connaissent pas) a suggéré que nous devrions arrêter de râler en jouant les chroniqueurs énervés - c’est vrai, des chroniqueurs énervés, il y en a trop -, je vais donc finir sur une touche pleine d’espoir : ils vont se rabibocher et nous sortir un album de folie !

Non, désolé cher lecteur, je n’y crois pas un instant. Je ne suis pas optimiste pour un clou, je ne suis pas énervé non plus, je suis juste dépité de voir Oasis terminer sa route dans une dispute fratricide qui m’est totalement incompréhensible. Quelle fin minable…

 
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