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Créé en mars 2007

computer

Fury Magazine, toujours à la pointe de l'actualité d'il y a cinquante ans en arrière.

Nos garanties :

- Tous nos articles sont écrits sur des ordinateurs à fiches perforées gros comme une camionnette.

- Nos rédacteurs ne communiquent entre eux que par téléphone filaire.

- L'un d'eux est né avant 1960.


"Nous sommes l'avant-garde du passé."

Modern life is rubbish...

periscope.jpg
... quoique...
Par Oddjob
  

"Dans des aventures sensationnelles, inédites… Spirou présente… Un type extraordinaire les amis ! Jean VALHARDI ! Un gaillard plein d’allant et de courage que vous aimerez. Comme vous aimez les héros de Spirou…"

Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire ! Précipitez-vous chez votre libraire favori et plongez-vous dans les aventures de VALHARDI, le célèbre détective dont la poignée de main, franche et ferme, était le signe de reconnaissance des membres du Club des Amis de Spirou. Eh oui, les belles éditions DUPUIS, nous proposent, enfin, une magnifique intégrale digne de ce nom, avec un premier tome regroupant les années 1941 à 1946, avec Doisy au scénario et surtout Jijé au dessin. Alors mieux qu’une distribution de cartes de rationnement gratuites… lisez les enquêtes de VALHARDI !

Vous En Voulez Encore ?

Trop chauve pour être une rock star, trop asthmatique pour être footballeur, pas assez alcoolique pour être écrivain, trop Français pour être Anglais, pas assez suicidaire pour être artiste, trop intelligent pour la télé-réalité. Il ne me restait pas grand' chose, et ce pas grand' chose, c'est devenu Fury Magazine. Hong Kong Fou-Fou


Rédaction :
wally gator logo Wally Gator : rugby de village, communion solennelle et charcuterie.
Eleve-Moinet-2.jpg  Elève Moinet : permis B, Première étoile, BEPC (mention Assez bien)
oddjob logo 2 Oddjob : KPM, RKO et Kop Boulogne.
barbidule-logo.jpg Barbidule : contradictions, bals de village et coloriage.
Getcarter logo Getcarter : mod, mod, mod.
hkff logo Hong Kong Fou-Fou : soins capillaires, huile de moteur et kilomètre arrêté.

N'hésitez pas à nous écrire : fury.mag@gmail.com (Pas de compliments, nous sommes modestes. Pas de critiques, nous sommes susceptibles. Pas d'insultes, nous sommes hyper baraqués. Pas de propositions à caractère sexuel, nous sommes fidèles.)
Vous pouvez également devenir fan de Fury Magazine sur Facebook (ici : Fury Magazine sur Facebook).
9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 11:33
Par Hong Kong Fou-Fou


Cet été, deux de mes cinéastes favoris encore en activité (la plupart ayant déjà été fauchés par la Moissssonneuse de Vie) ont sorti leur nouveau film. Quentin Tarantino et Woody Allen. Le premier parle à mes tripes, le second à mon cerveau. Mais les deux me titillent la glande à plaisir. Et je ne parle pas de la prostate. Allez, une petite chronique-éclair.

Le Tarantino, d'abord. "Inglorious Basterds". Basterds, et pas bastards, pour le prononcer "à l'allemande". Rien que ce détail, c'est du génie à l'état pur. Bon, disons-le tout net : si vous ne loupez jamais sur Arte une seule émission des "Mercredis de l'Histoire", il ne faut surtout pas aller voir ce film. Vous mettez Alain Decaux dans la salle, il arrache son fauteuil de rage, il bouffe son esquimau avec bâtonnet et emballage. Tarantino nous offre sa vision très (trop ?) personnelle de la Seconde Guerre mondiale, avec des Nazis vraiment nazis, des chasseurs de scalps, un colonel SS buveur de lait, une actrice allemande passée à l'ennemi, etc. L'histoire, avec un tout petit "h" , c'est celle de la préparation de deux complots parallèles visant à éliminer le nabot à petite moustache. Tout le monde s'éclate, dans ce film : les acteurs, le réalisateur et les soldats allemands, mais eux, c'est contre la batte de l'Ours juif... Tarantino est arrivé à un stade où il peut tout faire, tout se permettre. Le public adhère, tant mieux, le public boude, tant pis. Que nous réserve pour le futur celui que les Anglais ont classé 100ème dans leur liste des 100 génies encore vivants ? On parle d'un biopic sur Jimi Hendrix, d'une histoire d'agent secret pendant la Deuxième Guerre mondiale, encore (il va pouvoir économiser sur les costumes), de tout un tas d'autres projets plus excitants les uns que les autres. De toute façon, il pourrait faire un remake du "Cuirassé Potemkine", j'irais en courant.

Le Woody Allen, ensuite. "Whatever works". Après son escapade européenne (trois films à Londres, un à Barcelone), le cinéaste qui voit la vie en (név)rose rentre au bercail. Et c'est quand même à New-York qu'il est le meilleur.  Il retrouve ses marques, son style, sa verve. S'il fallait résumer le film en une phrase, ce serait ça : une histoire de cul et de Q.I. En gros, c'est la rencontre entre un physicien aigri et misanthrope et une jeune fille paumée et naïve. Tout un tas de personnages vont se téléscoper. C'est drôle, ça fait réfléchir. Un seul regret, c'est que le réalisateur à lunettes n'ait pas lui-même interprété Boris Yellnikoff, le scientifique déprimé, fataliste et boîteux. D'accord, la doublure qu'il a embauchée est convaincante, mais c'est quand même dommage. Peut-être son psychiatre le lui a-t-il déconseillé ?

En fait, Tarantino et Woody Allen ne se renouvellent pas plus l'un que l'autre. QT se contente de reproduire les films dont il s'est gorgé quand il était jeune et fauché, en ajoutant de la musique de western ; WA parle toujours de la mort, de Dieu, de l'entropie, et de tout un tas d'autres sujets fondamentaux, sur fond de jazz. Dans les deux cas, les dialogues sont truculents et hyper travaillés, les deux films méritent d'être vus une deuxième fois pour en apprécier la richesse. Très peu d'action dans le Tarantino, d'ailleurs. Mises bout à bout, les scènes d'action durent à peine plus longtemps qu'une pub pour Budweiser. Ils pourraient facilement être adaptés au théatre. Pour "Whatever works", c'est évident. Pour "Inglorious Basterds", il faudrait juste brûler le théatre à la fin...
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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 07:35
Par Hong Kong Fou-Fou

Chose promise, chose due. Pour remplacer nos trois rubriques quotidiennes trop tôt disparues, voici une nouvelle rubrique, hebdomadaire cette fois, et qui sera alimentée à tour de rôle par l'un de talentueux rédacteurs... Comme d'hab, chacun parle de ce qu'il veut.

L'autre jour je faisais mes courses chez Leclerc (oui, je sais, j'ai une vie exaltante). Je déambulais dans le rayon "Vins", à la recherche du précieux breuvage qui allait m'aider à voir la vie en rose (enfin, plutôt en rouge. Et qui tache), lorsque je suis tombé en arrêt devant une bouteille dont l'étiquette indiquait : "Terre d'aumes - Découvert par Johnny Hallyday" (*). Au dos, le distributeur du vin : "Hallyday Wines Diffusion". Illico, j'imaginais la scène : une longue route rectiligne, une moto qui surgit dans un horizon rendu flou par la chaleur. La moto s'arrête devant un rade perdu, fait d'un assemblage improbable de planches et de tôles. Le chanteur-acteur-vendeur de lunettes préféré des Français (voyons, où ai-je rangé ma demande de dénaturalisation ?) met santiag à terre. Il porte un long cache-poussière recouvert de poussière (pourquoi ça s'appelle comme ça, alors ?). Il entre dans le bar d'un pas fatigué. Derrière le comptoir, un Mexicain aux cheveux gras s'affaire à laver des verres. Dans un coin, un joueur de banjo joue du ukulélé, couvrant à peine le couinement du ventilateur qui tente de brasser l'air moite.
- Un pichet de ton meilleur vin, l'ami, commande Johnny Hallyday dans un américain digne du remake croate de "Un chien andalou". Il s'assied sur une chaise en bois qui réagit dans un craquement outré.
- Tout dé souite, senor, répond le Mexicain.
Il dépose prestement sur la table un pichet ébréché en terre cuite, confectionné par sa vieille grand-mère, là-bas au village.
Johnny se sert, boit une gorgée, la garde en bouche quelques secondes avant de l'avaler.
- Hmm, il est bon, ton vin, l'ami. C'est quoi ?
- C'est dou vin Terra d'aoumès, senor.
- Si tu veux, l'ami, toi et moi nous serons riches. Enfin, surtout moi...
Une annonce au micro annonçant une promotion sur les radis en bottes au rayon "Primeurs" m'a ramené à la réalité. Mais la conclusion de l'histoire, elle était là, devant moi, matérialisée par ces bouteilles bien alignées.
Bon, c'est gentil, hein, de vouloir nous aider à améliorer notre quotidien de quidam moyen, mais moi, mon pinard, j'aime autant me le choisir tout seul. Qui oserait servir à table à ses amis un vin avec "Johnny Hallyday" écrit en gros sur l'étiquette ? Pourquoi ne pas manger en écoutant "Paroles d'hommes", tant qu'on y est (purée, avec tout ça, je ne sais plus si le titre de son album, ce n'est pas plutôt "Paroles d'aumes") ? Un peu agaçante, cette manie des stars de toucher à tout. Notre blond peroxydé, il ferait mieux d'aller le faire, son concert à La Réunion. En plus, à son âge, il est certainement immunisé contre la grippe.
Sinon, Sim est décédé hier. J'ai le droit d'en parler ici, puisqu'il a chanté "Quoi ma gueule". Quand les ados vont lire l'annonce de sa mort dans les journaux de leurs parents, ils vont croire que c'était l'inventeur de la carte qu'ils ont dans leur téléphone...
Allez, une petite citation de ce personnage au physique particulier : "Il y a des dames si moches que ça devient excitant quand elles se rhabillent"...


*Non, tas de moqueurs irrespectueux. N'allez pas imaginer que c'est Johnny qui a écrit "Terre d'aumes" à la place de "Terre d'hommes"...
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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 14:21
Par GoudurixYZ
Il y a quelques années, j'ai cru avoir trouvé la bonne formule. Celle du dimanche idéal. Seul et au lit.
Trois conditions sont pourtant indispensables :
1 - Un bon livre, comme on dit.
2 - Une bonne fête la veille.
3 - Une bonne pluie dehors.
Petit problème, ce livre est unique (avant que j'oublie, commencez-le au chapitre 5, page 60 - pur hasard - directement là où ça se passe). C'est un manuel d'histoire d'une fille unique avec 7 frères et soeurs qui était là au bon endroit à la bonne heure. A moins que le bon endroit ne fut à la bonne heure grâce à elle.
1964. Edie take a walk on the wild side. La wild side, c'est l'east side. Destination New York (comme dans Hergé. Pourtant je ne la voyais pas en train de lire Jo, Zette et Jocko). Elle y débarque un beau jour de printemps avec pour tout viatique la fortune familiale. Twiggy américaine, elle ne tarde pas à tomber sur celui qui va lui donner plus d'un quart d'heure de célébrité. Tout y passe : Andy Warhol, la Factory, le CBGB, le Velvet, Nico, Gerard Malanga, Paul Morrissey, Billy Name, le Chelsea hotel. Et une tapée de noms à coucher dehors : Bartle Bull, Cloke Dosset, Rod la Rod (ça c'en est un ! Vous savez ce que veux dire rod en anglais ?) et Truman Capote : logique.
Sensationnelle ! Une beauté ! On n'avait d'yeux que pour elle ! Comme dans un film qu'elle n'a jamais vraiment tourné, les éloges sont élogieuses. Patti Smith :
"Parfaitement branchée, Edie irradiait l'intelligence et l'énergie". C'est une aventurière moderne. L'époque est épique. Roy Liechtenstein (mon peintre préféré) : "Je suis allé à un bal costumé avec ma femme, déguisés, elle en Edie et moi en Andy (...) je me contentais de répondre : super ! ou extra ! à tout ce qu'on pouvait me dire".
Star de l'underground comme Marilyn était star de l'overground, Edie a eu deux vies. Laquelle regarde-t-elle désespérement vers le haut sur la couv, la mâchoire plombée au coton ? Sûrement la deuxième.
Venant d'une famille de givrés, d'aristos sans particule, son histoire tourne mal et fait froid dans le dos (je sais c'est facile). La mess est dite. Retour sur la côte ouest pour un aller simple dans tous les poncifs de la lose. Il ne lui manque que de s'être retrouvée au premier rang d' Altamont un soir de décembre 69. Sex, drogue et rock'n'roll.
On ne vit que deux fois. Edie est morte comme j'en rêve. Dans son sommeil, sans s'en apercevoir. A-t-elle revue les images de sa vie ? Mon Dieu quel film.
Il me restera toujours cette question (dans mes dimanches pourris) : si j'étais né 30 ans plus tôt sur la côte est, m'aurait-elle seulement regardé le coin de la gueule ?
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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 00:02
Par Hong Kong Fou-Fou

Bon ben voilà, les chemises à fleurs et les chapeaux de paille sont rangés dans les placards, les costumes/cravates les ont remplacés. Au revoir les cocktails frappés, bonjour les litres de café. C'est reparti pour de nouvelles aventures sur la toile. Comme vous pourrez le remarquer, les rubriques "quotidiennes" Dans la lucarne, Un jour de + loin des 60s et Cadrage - Débordement ont disparu. Elles nous prenaient trop de temps et comme de toute façon il n'y a que les scoubidous en forme d'hélicoptère qui vous intéressent, à quoi bon ? Une réunion de rédaction va se dérouler ces jours-ci, autour d'une bonne choucroute garnie. Nous allons y définir la nouvelle ligne éditoriale de Fury Magazine et, peut-être, nous bagarrer comme les frères Gallagher. J'espère que Wally Gator ne va pas me casser sur le crâne mon crayon préféré (je l'ai eu sur la caravane du Tour de France, j'y tiens), sinon je quitte l'équipe et je m'exile à Ibiza. Je passerai mes après-midis à jouer au Scrabble avec l'ex-leader d'Oasis, on ira ensemble aux oursins, tout ça. On s'octroiera de temps en temps une petite folie, un panaché à la cantina du village. La vie saine quoi. On s'aidera mutuellement, moi à lui faire oublier Oasis, lui à me sortir Fury Magazine de la tête.
En espérant ne pas en être réduit à de telles extrémités, je vous souhaite une bonne rentrée.
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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 00:01
Par Wally Gator, GoudurixYZ et Hong Kong Fou-Fou


Contribution de Hong Kong Fou-Fou
The Clash : Death or glory (1979)
Quand votre épouse achète à votre fiston de six ans un t-shirt sur lequel figure la pochette de "London calling", vous êtes fier. Quand vous expliquez au charmant bambin que c'était l'un des disques préférés de son papa quand il était plus jeune, forcément, il veut écouter. Et comme à cet âge-là, on écoute en boucle, ça signifie que cette galette est restée vissée à ma platine tout l'été. Une cure de jouvence et de souvenirs, c'est nécessaire parfois. Et puis c'est dans les vieilles marmites qu'ont fait les meilleures soupes, GoudurixYZ nous le démontre tous les jours.
The Enemy : Don't break the red tape (2009)
Un extrait de leur nouvel album, "Music for the people". Voilà un titre de disque qui me parle ! Sur ce morceau le chant est pompé sur "London calling", ça m'a permis de l'écouter sans me faire houspiller par le fiston dont il est question juste au-dessus.
http://www.myspace.com/theenemycoventry
Joe Bataan : Subway Joe (2008)
La star de Fania n'est pas fanée (ah putain que je suis drôle, les vacances m'ont fait un bien fou !). Un album enregistré l'an passé avec le groupe espagnol Los Fulanos le prouve.
http://www.myspace.com/joebataan
Sergeant : Counting down the days (2009)
Déjà présent il y a quelques mois dans cette sélection. Le groupe n'a pas changé de patronyme, mais il a encore pris du galon. Il n'a pas changé de coiffeur non plus. C'est quoi ces coupes non réglementaires ?
http://www.myspace.com/sergeantmusic
The Hawk : Run rudeboy (2008)
Quand il ne fait pas vibrer les cordes épaisses de sa basse au sein de Big Boss Man, Scott Milsom s'affuble d'une casquette de baseball, se fait appeler The Hawk et fabrique de la musique avec tout un tas d'appareils remplis de condensateurs, de fils et d'amplificateurs opérationnels.
http://www.myspace.com/thehawkmyspace
DJ Shepdog : The virgo (2009) 
Les mêmes appareils électroniques, mais branchés sur le secteur jamaïcain.
http://www.myspace.com/djshepdog
The Arctic Monkeys : Crying lighting (2009)
Contrairement à ce que pourrait laisser penser le clip, le navire Arctic Monkeys est loin de prendre l'eau. Nouvel album, et c'est toujours aussi bon. Le seul truc qui m'inquiète un peu, c'est qu'apparemment certains membres du groupe friquotent avec des bimbos, des présentatrices de MTV, tout ça... Quand on voit ce que ça a donné pour Preston des Ordinary Boys, on peut s'inquiéter. Les blondes siliconnées font rarement bon ménage avec la créativité. Elles font d'ailleurs rarement le ménage tout court...
http://www.myspace.com/arcticmonkeys


 
Contribution de Wally Gator

De retour de vacances, l’inspiration n’est pas toujours au rendez-vous : la faute au soleil, à la plage, aux cousteilles grillées, aux roustes juteuses et craquantes… Alors, non, désolé fidèle lecteur, je n’ai rien dégoté de neuf pendant cette période estivale J’ai tout juste un peu surfé (sur le net, pas sur une vague : j’en suis incapable) et (re)découvert The Go ! Team…

L’été a été un "Fine time", d’ailleurs j’ai "Staying out for the summer". Mais toutes les bonnes choses ont une fin : "Wake up boo" !!!! Arrrgh, ne criez pas comme ça, je suis tombé de mon hamac… Retour au boulot… "Home sweet home" ??? Bahhh, tant que je ne suis pas "Grip like a vice" par le taf…

Une chose est tout de même venue perturber la fin de l’été. Le split d’Oasis… Est-ce définitif  ? L’avenir nous le dira. En tout cas, les Gallagher brothers ont encore prouvé leur bêtise (le génie n’excuse pas tout) et ont donné l’occasion à Madness de briller.

Cast : Fine time

Dodgy : Staying out for the summer

Boo Radleys : Wake up Boo

Those Dancing Days : Home Sweet Home

The Go! Team : Grip Like A Vice 

 

 


Contribution de GoudurixYZ
Art Brut : Alcoholics unanimous
J'adore ce titre : les alcooliques unanimes. Quand il est arrivé sur scène à Barcelone avec un verre grand comme ça, il nous à juré qu'il n'en était pas un. On te croit, on te croit.
http://www.youtube.com/watch?v=_nk93r2oGJE
Eagles of Death Metal : Heart on
J'adore ce groupe. Un desperado à la batterie, un psychopathe à la guitare, un bûcheron à la basse et un redneck au micro. On se croirait dans "Ballade pour un cercueil" de Blueberry. Pourtant les ballades, c'est pas trop leur truc.
B Alone : Time is love
J'adore ces paroles :
I am sentimental / I am universal / I am so sexual / and I travel / I'm sorry / I'm in a hurry / Time is love...
Bob Azzam : Mustapha
Des jeunes gens propres, modernes, gracieux et dynamiques : ce qu'on fait de mieux. En plus j'adore cette chanson.
Black Lips : 200 million thousand
Oui, oui, ami lecteur, vous qui pensiez que j'étais votre ami, vous avez bien été déçu. C'est un chanteur pour bobos qui s'est glissé dans cette rubrique  pas plus tard que la dernière fois. Un chanteur qui passe sur MCM, MTV, NRJ et tous ces trucs à 3 lettres. Tout ça pour faire des vannes à 2 balles. 1 fois. Honte sur moi ! Mais dans la vie il faut me laisser une deuxième chance. Et j'ai de quoi me rattraper : Les Black Lips sont aussi faits pour passer à Taratata que les Inglourious basterds au Stalag 13 !
Donc et en résumé et dans le souci de synthétiser ma pensée, puisque telle est la nouvelle politique rédactionnelle  instaurée à Fury magazine par notre patron au cours de sa dernière réunion estivale dont le thème fut : "concision et allitération",  je dirais sans risque de me tromper que les Black Lips sont un groupe  garage seventies comme on n'en a pas fait depuis les années 70, qui allie des influences telles que le Velvet underground, les Troggs et Kevin Ayers avec peut être une légère connotation psychédélique et qui devrait plaire aux plus borderline d'entre nous et dont je me permet de conseiller l'achat de l'album sus-cité qui en effet, grâce à sa qualité intrinsèque constitue un excellent rapport qualité / prix, tout en ne dépareillant pas votre discothèque, ce qui avouez-le est bien là l'essentiel.


 
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24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 17:00
Par Hong Kong Fou-Fou



Il faut se rendre à l'évidence, la crise n'épargne personne. Même pas les rédacteurs de Fury Magazine, que vous imaginez sans doute nageant dans l'opulence, entourés de filles faciles (ça c'est sûr, faut pas qu'elles soient difficiles...), remplissant des chèques comme un pauvre remplit sa grille de Loto, déjeunant le midi à la Voile Rouge, dînant le soir à la Tour d'Argent (pratique, un Falcon 7X, quand même).  Malheureusement, il n'en est rien. Nous sommes des gagne-petit, des traîne-savates, des crève-la-faim. Presque comme vous, lecteurs (j'ai dit presque, hein, faut quand même pas déconner).
Alors, pour arrondir les fins de mois difficiles, chaque été nous sommes obligés de prendre des boulots saisonniers. Cette année, Wally Gator sera vendeur ambulant sur la plage le jour  et videur au Macumba la nuit  (il va distribuer le soir des beignes aux gens à qui il aura vendu des beignets l'après-midi, quoi) ; Goudurix, en habit de lumière, sera danseur mondain dans les maisons de retraite huppées ; quant à moi, j'attendrai qu'ils m'apportent ma part de leur salaire en sirotant un sirop d'orgeat et accessoirement en terminant mon prochain ouvrage, "Comment se rallonger le scoubidou"...
Tout ça pour vous dire que Fury Magazine va être en sommeil, jusqu'au premier septembre. Oui je sais, c'est cruel. Mais c'est comme ça. Heureusement, Benjamin Castaldi ne vous abandonne pas, lui. Secret story continue tout le mois d'août. Bonnes vacances malgré tout !

Allez, pour faire passer la pilule de cette (brève) interruption, voici une nouvelle sélection des requêtes qui ont conduit certains internautes sur Fury Magazine :


le temps des héros est arrivé etes vous d accord
Oui. Tout à fait d'accord. Fini de déconner. La vie facile, le confort qui nous ramollit, les aides sociales, l'eau chaude et le fromage à tous les repas, terminé ! T.E.R.M.I.N.E. A partir de maintenant, on va serrer les dents, on va se battre pour survivre. On va peut-être même supprimer Fury Magazine, tiens.
les couleurs de les dérnier hammer voiatures
Je n'en sais rien et je m'en moque. Mais toi, il faut que tu prennes violet intérieur jaune. Ou le contraire. Fais-moi confiance.
quel est la difference entre la bataille de marathon et le marathon(sport)
Courir plus de quarante kilomètres, c'est fatigant. Mais le faire avec sur le dos une cuirasse en airain, après s'être frotté à l'armée perse, c'est carrément tuant. Y avait même pas de Nike, en plus.
que signifie élémentaire mon cher watson
Cette expression, qui ne fonctionne que si l'on s'adresse à quelqu'un que l'on apprécie et qui s'appelle Watson, signifie que la chose dont on parle est élémentaire. Mon cher Watson.
faire une demande d'éffacer les condamnations dans le caissier
Et avec ça, qu'est-ce qu'on vous met ? Une médaille ? Un porte-clefs avec le glaive et la balance ? Des excuses du Garde des Sceaux ?
les parasites me brouillent l'écoute
Là, on ne saura jamais : s'agit-il d'un authentique radio-amateur qui rencontre de réels problèmes d'interférences, ou bien d'un petit malin qui use de cette célèbre contrepèterie pour figurer dans Mury Fagazine ?
contrat d'esclave
Je ne suis pas certain qu'un contrat était signé entre l'esclave et son maître. Mais si c'était le cas, ce dernier avait intérêt à ajouter la clause suivante : "L'esclave s'engage à ne pas chanter de blues après minuit." Sinon, bonjour les nuits blanches...
mont pipicaca au chili
Par où commencer ? Ce n'est pas "mont", c'est lac. Ce n'est pas "pipicaca", c'est Titicaca. Et ce n'est pas "chili", c'est le Pérou. Ou la Bolivie. Voilà ce que ça fait quand on est nul en géographie : on atterrit sur Fury Magazine. Sanction immédiate.
jonquera pute
Goudurix ? C'est toi ???
charentaises
Ah, cette fois, c'est Wally Gator !

conan va-t-il retrouvé son corp d'origine ?
Hmm, ça ne doit quand même pas
être bien difficile. Un corps comme ça, ça se remarque. Un cou comme une barrique. Des mains comme des planches à pain. Des cuisses comme des troncs. Tu peux le poser dans un coin, personne ne va te le piquer.
ai-je bien gagne en juin 2009 8 000 euros chez damart
La bonne nouvelle, c'est que la réponse est oui ! La mauvaise, c'est qu'ils vont vous être remis en nature, sous forme de paires de mi-bas de compression Thermolactyl. A 17,90 euros la paire, ça fait 446,92 paires. Allez, disons 447, soyons généreux. Z'avez des préférences, pour les couleurs ?
comment faire un scoubidou a 6 fils sur wikipédia (formes objet...)
6 fils ? Mais jusqu'où iront-ils ? A moins de s'appeler Shiva, cela me semble impossible. Quand je pense qu'on s'extasie sur Neil Armstrong et sa clique...
comment faire de belle choses avec deux fils de scoubidoo
Pfff, comment oser faire encore des scoubidous à deux fils, quand d'autres envisagent de passer à six ? Minable, va ! J'espère que tu n'as pas de gosses, tu leur ferais honte !
filmography de bob hardeur marseillais
Alors, de mémoire : "Suce-moi la sardine", "PSG on t'encule", "Copieuse bouillabaise" et "Prends-moi sur la Canebière". Je crois que c'est tout, je ne suis pas spécialiste.
plus de fringues ? venez sauter la vendeuse ! torrent
Pour moi, torrent = film à télécharger. Donc, si c'est un titre de film, Bob de Marseille doit certainement jouer dedans !



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22 juillet 2009 3 22 /07 /juillet /2009 13:00
Par GoudurixYZ

C'est la lutte finale, ou les dernières nouvelles de l'O.M, le club préféré du chanteur des Slots même quand il chante (en alexandrins !) "Voila que la chanson devient un vrai concours / les idoles à Baltard viennent prendre leurs cours..."
 
"Vous êtes des petits bourgeois de merde !" Arlette Laguiller glissant sur une peau de banane devant le siège du MEDEF ? Olivier Besancenot ne retrouvant plus la selle de son vélo pendant la distribution du courrier à Neuilly ? Cohn Bendit à ses militants après le résultat des élections européennes ? Non. Tout simplement RLD dans le texte et dans les vestiaires de l'OM après la défaite en finale de la Coupe de France contre Sochaux.
Ah, c'est toujours dans ces moments-là qu'on en apprend le plus. Mais pourquoi tant de rudesse dans le monde du football ? On s'étonne après. C'est pourtant si simple de détendre l'atmosphère. il aurait pu leur glisser : il y a des joueurs de l'autre équipe là-haut et  un podium et vous savez quoi ? Les onze y trônent ! Succès assuré. Ou bien avant le match, puisque l'OM ne gagne jamais : Hé les gars, vous connaissez la musique ? Alors assez d'essais ! Et les joueurs de lui répondre : attention boss, vous êtes parano mais presque ! Et pourquoi pas d'ajouter : mieux vaut un compte en Suisse qu'un compte en cieux !
- Hum, s'cusez boss, c'est sorti tout seul. Sans rancune boss ? Pour la peine : vous savez comment ça s'appelle quand un bébé vache fait de l'aérophagie ? Un vocabulaire...
- Mais t'es drôle Mamadou ! T'en rates pas une. Au fait Djibril au hasard, t'es pas rasé !
- Mais non boss, c'est : par hasard t'es pas rasé. Sinon ça marche pas !
- Oui, euh moi non plus j'suis pas rasé ! Allez va mouiller le maillot, sinon tu vas te retrouver au Sochaumage technique ! Je vais prendre des mesures.
- Mouiller le maillot ? Mais j'ai pas piscine ! Et vous allez mesurer quoi ? Le banc de touche ?...Arrêtez à Fury Magazine, c'est trop rigolo, je suis mdr. On va encore prendre une branlée.
- Wally Gator : Pas question ! Pour la peine on va vous envoyer Footix. Notre Footix, Hong Kong Fou Footix !
- Non, pas Hong Kong Fou Footix ! Si c'est comme ça on vous envoie Pierre Mènes. Y va vous le calmer grave !
- Hum. On a peut être fait une connerie là. C'est pas gagné gagné.
 
C'était comme qui dirait un blague. Désolé de m'être enfoncé de la sorte, mais l'humour abstrait n'est plus ce qu'il était. Ne soyez pas trop dur, déjà que j'ai pas confiance en moi...Tiens, je vais m'intéresser à la L 2 Moldave moi.

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18 juillet 2009 6 18 /07 /juillet /2009 15:43
Par Wally Gator


L’été est là, la masse est en congés, vous êtes, vous lecteur de Fury Magazine, en vacances. Vous avez décidé de relire "Guerre et Paix", à moins que votre choix ne se soit porté sur "Les mémoires d’un pigiste incompris" d’un certain G. Oudurixyz. Alors que vous ouvrez votre ouvrage favori confortablement installé sur votre rabasse, vous constatez que la touriste en maillot à fleurs située non loin de vous sur la plage vient d’empoigner un de ces magazines à "scandales" sur les pseudo-VIP, les starlettes et les has-been en manque de reconnaissance. Votre œil d’aigle aperçoit le titre du torchon : "Psst ! Ca reste entre nous…". En couv’, des titres accrocheurs, racoleurs, vous promettant de vous révéler le secret beauté de Melle B. ou les astuces ventre plat de Miss OK voire même la couleur de petite culotte de Harisse Pilton, celle que Ron Haldigneau lui a arraché avec les dents avant-hier soir. Passionnant...

Cependant, ne vous êtes vous jamais demandé si ces belles promesses étaient tenues ? Et bien, moi oui. N’écoutant que mon courage, je me suis plongé dans le téléchargement (gratuit et légal) d’anciens numéros… La chute a été rude mais toutefois bien amortie par un flot de rien du tout autant insipide que farci de fautes d’orthographe à faire redoubler un élève de CE2. La mise en page est néanmoins assez intéressante : elle vous pousse à lire en priorité les sous-titres des photos, qui sont au passage souvent de très mauvaise qualité, je vais en reparler. Les sous-titres, donc, toujours interrogatifs, interprétant un froncement de sourcil, un pincement de lèvres, un pli sur le menton, nous sommes dans le grand journalisme d’investigation !!!! Les photos ont un petit goût d’interdit, de volé, donc un côté "Purée, c’est comme si je le voyais moi-même caché derrière un pot de géranium !". Les articles plus "sérieux" tournent autour d’un grand principe : vous êtes le ou la meilleur(e) ami(e) de Body Buldeur, la star montante, et il vous donne ses conseils drague-muscu-alimentation-mode à vous et uniquement parce que c’est vous. Après, il y a aussi les comparatifs : qui a les plus belles fesses ? Qui s’est fait refaire les seins entre l’été dernier et aujourd’hui (photos avant-après à l’appui) ? Les plus beaux abdos ? Le plus beau sourire ? Le plus beau yacht… Enfin, la liste est longue… Nous sommes dans l’empire du voyeurisme-roi.

Ceci dit, qui je suis, moi, pauvre Wally Gator, pour juger ce beau boulot ? Trouvez un numéro, chez votre concierge, chez le coiffeur ou dans une poubelle (si vous arrivez à le distinguer des détritus) et faites-vous votre propre opinion. Personnellement, et pour reprendre une des expressions favorites de notre rédac’chef bien aimé, cela ne vaut même pas l’allumette pour y mettre le feu. Mais… Que cela reste entre nous…

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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 11:28
Par GoudurixYZ pour le texte et Elric pour le dessin
 
Descendu ! Oui, ami lecteur, je suis descendu. Descendu en division 2. En division 2  de Fury Magazine. Le Fury Magazine que j'aime tant. Pourtant, je pensais avoir fait de bons matchs, dans un style résolument porté sur l'offensive. Avoir mouillé le maillot. Mais il faut se rendre à l'évidence, quand ça veut pas rentrer, ça veut pas rentrer et la sanction est tombée.
Désespéré comme une vulgaire housewife cathodique, j'ai arrêté de croire dans le genre humain. Comme ça pendant quelques secondes. J'ai ensuite essayé de me réfugier dans le détachement et la crème Mont Blanc à la pistache. En pure perte. Mais rassurez-vous les amis, j'en ai connu d'autres (j'ai même écouté une chanson de Placebo un jour, c'est dire). Je reviendrai avec de nouvelles tournures de style, de nouvelles allitérations, de nouveaux aphorismes.
Pour ce faire, je viens de commander l'intégrale de Guy des Cars et de Henri Troyat. Puis je compte m'attaquer aux philosophes. Gonzague Saint Bris et Bernard Henry Lévy. Pendant que Wally Gator et son Hong Kong Fou-Fou de patron danseront majestueusement (le syndrome de Stockholm) dans les clubs à la mode, je serai chez moi à travailler ma syntaxe pour enfin devenir un véritable chantre de la langue française. En attendant, je sais ce que vous brûlez tous d'envie de dire : "Allez, salut l'artiste. Chapeau bas."
- Hong Kong Fou-Fou : Son père nous l'avait envoyé pour en faire un homme, pour l'aguerrir.
- Wally Gator : C'est complètement raté.
- Il va falloir que tu sortes Goudurix !
- Ouais, va bien falloir que tu sortes ! On va lui maraver la gueule à ce pédé, y va rien comprendre.
- On va lui apprendre le cadrage débordement. Ah ah ah ah.
- Goudurix : Laissez moi tranquille !
- Tiens je glisse ta paye du mois de juin sous la porte. Tu pourras payer des études à tes gosses. Mince, ça passe pas, y a deux billets de 10, faut que tu sortes !
- C'est bon, j'arrive.
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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 12:00
Par GoudurixYZ

Après avoir passé 6284 heures sur les pages Chaland d'Ebay et être tombé 12256 fois sur "le chaland qui passe", vous l'avez compris plus vite que moi (l'émotion !), me voici enfin vengé. L'heure de la rédemption a sonné. Je suis donc fier de vous présenter le "(Yves) Chaland qui passe". Chaque mois, un collector rien que pour vous. Je viens de faire les comptes, cette rubrique devrait durer 12 ans et 3 mois.
PS : Nous cherchons toujours un volontaire pour "La place du Stanislas (Barthélémy)".

 
Années 80 (oui, je sais, cette rubrique commence souvent comme ça). Par une soirée d'orage, un étrange client fait grincer la vieille porte métallique (porte métal grinçante) du "Futur antérieur" à Perpignan. De la poche de son imperméable mouillé, il extrait une petite boîte qu'il pose sur le comptoir. A l'intérieur, Bob Fish himself. En plâtre et en couleurs. Dans la boutique, la tension est palpable. Vous êtes le patron ? dit l'inconnu au patron interloqué qui effectivement était le patron. Voila, c'est moi qui l'ai fait. Tout seul. Je vous le laisse quelques jours le temps de le montrer à vos clients. Le mystérieux client ne reviendra jamais chercher son précieux objet.

- Ca ne marchera jamais ! objectai-je après que le beau temps fut venu après la pluie. Personne ne voudra jamais d'un personnage en 3D. C'est bon pour le club Dorothée. Casimir ou Goldorak, mais là soyons sérieux. Combien ça coûte ? (On pouvait encore poser cette question sans passer pour un idiot, l'émission de Jean-Pierre Pernot n'existait pas encore)
- 99 francs.(On pouvait encore faire cette réponse sans passer pour un bobo, le livre de Beigbeder n'existait pas encore)
- Le prix de 3 albums ? Ca ne marchera jamais ! Bon, j'y vais, je vais rater les jeux de 20 heures.
Je suis parfois un peu visionnaire.

Indice de rareté : 5/5
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